Cristhian Mosquera : « Je rêve de jouer avec La Roja »

Photo Marta Fernandez Jimenez / Shutterstock

Ancien défenseur central de Valence aujourd’hui à Arsenal, Cristhian Mosquera s’est confié au micro du journal espagnol AS.

Formé à Alicante, Cristhian Mosquera s’est ensuite révélé sous la tunique de Valence où il a évolué de 2016 (catégories jeunes) à 2025 : 90 matchs en équipe première. À seulement 21 ans, le solide défenseur central a posé ses valises à Arsenal l’été dernier.

Pièce maîtresse et capitaine de l’équipe d’Espagne U21, l’hispano-colombien a évoqué son nouveau rôle dans un entretien avec AS : « Très content de porter le brassard. Lors du dernier rassemblement, on m’a annoncé que je serais capitaine et c’était vraiment un honneur. Je suis le joueur le plus expérimenté en U21 et je sais que cela implique des responsabilités. Je dois transmettre mon expérience aux plus jeunes. Je connais David Gordo (le sélectionneur) depuis longtemps et je sais ce qu’il attend. Je dois aussi diriger l’équipe depuis l’arrière ».

L’ancien joueur de Valence a donné son ressenti sur son arrivée à Londres : « Je me sens super bien au club et dans la ville. Dès le premier moment où Arteta a parlé avec moi, je n’ai eu aucun doute sur mon choix. Il y a un groupe de joueurs incroyables. De plus, il y a beaucoup d’Espagnols qui m’ont aidé à m’adapter ». « Gyökeres est une bête, un animal. S’entraîner avec lui aide les défenseurs à progresser. À Valence, il y avait de grands joueurs, mais pouvoir m’entraîner avec des footballeurs de ce niveau est un vrai saut qualitatif », a-t-il déclaré au sujet du grand attaquant suédois.

Enfin, Cristhian Mosquera s’est montré ambitieux et lucide sur la suite de sa carrière : « Je me concentre sur mon club et je ne me précipite pas pour l’équipe nationale. Le quotidien dépend de moi, le reste viendra naturellement. L’Espagne a d’excellents défenseurs, aujourd’hui et demain, et c’est à moi de travailler pour me faire une place. Je me concentre sur mon travail et les portes finiront par s’ouvrir ».

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ParYvan
Yvan Peinaud, directeur de publication du 11 Espagnol
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