À la veille de la réception de l’Olympiakos en Ligue des champions, Hansi Flick a pris la parole en conférence de presse.
Le FC Barcelone a difficilement glané un succès 2-1 contre le Girona FC en Liga. Deuxième du championnat d’Espagne, le Barça va vivre une parenthèse européenne ce mardi à 18 heures 45 à domicile face à l’Olympiakos. Les Blaugranas se doivent de battre le club grec après avoir chuté 2-1 contre le PSG.
Hansi Flick a donné son ressenti sur son nouvel adversaire : « Ils ont une bonne attaque, les statistiques disent que c’est l’une des meilleures équipes offensives. Il suffit de voir le match contre Arsenal, où ils ont eu beaucoup d’occasions. Nous devons être attentifs à ces situations : ils ont de bons joueurs et une idée de jeu claire, il faut faire attention à eux ».
« Aujourd’hui, l’ambiance était très bonne. J’aime voir cet état d’esprit. Nous sommes une équipe jeune qui a besoin de cela. Quand nous avons analysé le match contre le Girona FC, j’ai surtout parlé du positionnement, du fait d’être bien en place. Si tu es trop loin, tu perds parce que tu dois trop courir. Cela te tue en défense. Il faut presser et améliorer le positionnement », a-t-il ajouté.
« J’aime Barcelone »
Hansi Flick a évoqué son côté émotionnel qui revient de manière récurrente ces derniers temps : « Je ne suis pas plus nerveux, peut-être que mes émotions ne sont plus les mêmes qu’avant. Je me souviens que lorsque j’entraînais le Bayern Munich, il y avait des images de notre victoire 8-2 contre le Barça, et je ne souriais même pas après les huit buts. Maintenant, j’ai plus d’émotions : ce club m’a peut-être complètement changé. Ce que je peux dire, c’est que j’aime ce club, j’aime Barcelone, j’aime les gens d’ici, c’est incroyable, et je donne le maximum pour ce club. Je vis pour le club. Quand je me vois à la télévision, je n’aime pas mon attitude, pour être honnête, et je n’aime pas que mon petit-fils me voie comme ça : je devrais peut-être changer mon comportement ».
De plus, le coach allemand a parlé de l’état physique de Ferran : « Nous espérons qu’il pourra être là pour le Clasico, ainsi que Raphinha. Quand il est revenu de la sélection, nous avons fait une IRM et nous avons vu qu’il y avait quelque chose. Jouer demain serait un risque. Nous ferons une nouvelle IRM et nous verrons s’il a progressé. Il faut prendre soin des joueurs. La situation est compliquée. Quand tout le monde sera revenu, ce sera différent ».
