Íñigo Martínez révèle les raisons de son départ

Photo Christian Bertrand / Shutterstock

Tout récemment parti à Al-Nassr, Íñigo Martinez livre ses quatre vérités au sujet de son transfert en Arabie saoudite.

Depuis l’été 2023, Íñigo Martinez a disputé 71 rencontres avec le FC Barcelone. Durant deux ans, le Basque a fait preuve d’un comportement irréprochable et a fortement contribué aux trois titres nationaux remportés par le Barça la saison dernière : Liga, Coupe du Roi et Supercoupe d’Espagne. Le défenseur central s’est fait apprécier du public catalan. Dans un entretien avec Onda Vasca, il explique les éléments qui l’ont poussé à partir de Barcelone cet été.

« J’ai parlé avec Flick au retour de la tournée, parce que pendant la tournée nous avions déjà assez à gérer et je ne voulais pas en rajouter. Au retour, j’ai décidé de lui parler, d’être sincère, car il allait me comprendre vu ma situation : il me restait un an de contrat et, à 34 ans, ce genre d’opportunités est difficile à refuser. Je l’ai pris par surprise, mais il a parfaitement compris. Dès la deuxième minute, il était très peiné, car il m’appréciait beaucoup, et c’était réciproque. Ce fut un moment triste et très émouvant, car je m’ouvrais à une autre ville et un autre pays, et il n’allait plus m’avoir dans le groupe », assure-t-il.

« Cristiano Ronaldo a une bonne réputation »

Íñigo Martinez évoque un « choix difficile » : « Je me serais sûrement posé la question si j’avais eu plus d’années de contrat. Je n’avais pas non plus un petit salaire au Barça et ma famille était heureuse. Cela n’a pas été facile de prendre la décision, car j’embarque ma femme et mes filles, mais c’est sûr que si j’avais eu plus d’années de contrat, j’y aurais réfléchi davantage ».

Par ailleurs, l’ancien joueur de l’Athletic Bilbao glisse quelques mots à propos de Cristiano Ronaldo qu’il va rejoindre à Al-Nassr : « J’ai eu une très bonne surprise. On m’avait déjà parlé en bien de lui. Les rapports que j’avais de son époque au Real Madrid disaient qu’il avait une bonne entente avec ses coéquipiers dans le vestiaire. Au Portugal, il m’attendait dans le salon pour me saluer et discuter avec moi, très proche, très joyeux. Je suis content d’être ici ».

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ParYvan
Directeur de publication du 11 Espagnol
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