Deuxième du Ballon d’Or 2025, Lamine Yamal est passé tout près de toucher au plus grand sacre individuel à seulement 18 ans.
Vainqueur de l’Euro 2024 avec la Roja et du triplé national (Liga, Coupe du Roi et Supercoupe d’Espagne) en 2025 sous la tunique blaugrana, Lamine Yamal figure d’ores et déjà parmi les tous meilleurs joueurs du football mondial. Ce lundi 22 septembre, la cérémonie du Ballon d’Or s’est tenue à Paris. L’ailier droit barcelonais a glané son deuxième titre consécutif à l’occasion du Trophée Kopa qui récompense le meilleur espoir au monde, âgé de moins de 21 ans.
Alors qu’il a fêté ses 18 ans il y a quelques mois, Lamine était tout proche de remporter le Ballon d’Or. En terminant deuxième derrière Ousmane Dembélé, il s’impose comme un sérieux candidat à la récompense suprême dans les prochaines années.
« L’année prochaine, Lamine Yamal sera Ballon d’Or »
De son côté, Mounir Nasraoui, le père de Lamine Yamal, n’a pas du tout bien vécu la « défaite » de son fils lors du vote du Ballon d’Or. Après avoir appris qu’Ousmane Dembélé était le lauréat du Trophée, il est rapidement passé devant la zone des journalistes espagnols pour leur lancer une déclaration : « L’année prochaine, il sera à nous ».
Mais plus tard, avec le temps, sa colère est montée d’un cran et il l’a laissée éclater lors d’un appel vidéo avec El Chiringuito : « Je pense que c’est la plus grande… je ne vais pas dire un vol, mais plutôt un dommage moral fait à un être humain », a-t-il commencé.
Puis il a défendu les raisons pour lesquelles, selon lui, l’attaquant du Barça aurait dû repartir de la cérémonie avec le Ballon d’Or entre les mains : « Je pense que Lamine Yamal est le meilleur joueur du monde, de loin, de très loin. Pas parce que c’est mon fils, mais parce que c’est le meilleur joueur du monde. Je crois qu’il n’a pas de rivaux ».
« Lamine, c’est Lamine Yamal. Il faut dire qu’il s’est passé quelque chose de très étrange ici », a-t-il ajouté, avant de répéter la même promesse qu’il avait déjà proclamée en quittant la cérémonie : « L’année prochaine, le Ballon d’Or sera espagnol ».